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La Voix de la Savane
LES BONNES PRAT …
Il s’agit d’une charte initiée par les #éleveurs pour assurer et influencer directement la sécurité sanitaire des animaux. En #aviculture une grande importance est accordée à l’application de bonnes pratiques d’élevage qui feront en sorte que les volailles soient en bonne santé et résistent à la maladie. Ces bonnes pratiques consistent à :
• Approvisionner correctement les volailles en eau et en aliments : Des aliments et l’eau en quantité et qualité suffisantes garantissent la santé et la croissance rapide des volailles ainsi que la production d’un grand nombre d’œufs. L’eau ne doit pas être issue de points d’eau non traités ou d’eaux de surface pouvant être contaminées par les matières fécales de volailles domestiques ou d’oiseaux sauvages ou encore d’autres matières organiques d’origine aviaire dont des carcasses ;
• Retirer les animaux morts du troupeau au moins deux fois par jour : Il arrive souvent que les animaux vivants dévorent ceux morts et contractent la maladie de ces derniers. Les cadavres doivent être correctement éliminés par incinération ou enfouissement par exemple ;
• Effectuer un abattage sélectif des oiseaux malades : Les animaux malades sont une source de germes pour les animaux en bonne santé. C’est pourquoi, il faut retirer les animaux malades du troupeau, les abattre et se débarrasser des cadavres en les enterrant ou en les brûlant;
• Contrôler et noter les conditions de santé du cheptel : Des registres bien tenus aideront à détecter précocement les problèmes de maladies et de production facilitant ainsi les soins et la correction ;
• Pratiquer de l’élevage en bande unique : Cette pratique est recommandée, d’où l’expression « all in all out » (GUEYE, 2008), car elle permet d’interrompre le cycle des micro-organismes dans les locaux d’élevage ;
• Ne jamais ajouter de nouvelles volailles à un cheptel déjà existant : Ajouter des coqs à un troupeau de reproducteurs ou y mettre des poules pour remplacer des animaux malades entraîne souvent une contamination ;
• Ne pas élever sur un même site des espèces aviaires différentes. Une espèce peut être une source de maladie pour les autres. Par exemple, les canards peuvent être infectés par l’IAHP H5N1 sans montrer aucun symptôme de la maladie (CHERRY, 2007) puis transmettre le virus à d’autres fermes.
Dites-nous en commentaires d’autres bonnes pratiques que vous préconisez en tant que bon éleveur.https://www.facebook.com/Mavolaille20/
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